mercredi 28 décembre 2016

Inauguration du circuit et des onze pupitres

le premier pupitre


le plan des 1.7 km de balade et des 11 pupitres sur l'histoire...

onze timbres réalisés par des artistes locaux




l'orne du 22 décembre 2016   Inauguration samedi du circuit et le groupe de bénévoles...


Nouvelle office du tourisme dès le 1 er janvier 2017


https://www.lavelofrancette.com/




Gine et Claude Guibout ont collecté de la documentation sur l'histoire...
                                             deux nouveaux circuits....


                         
des onze pupitres sur l'histoire de La Carneille

coupure des journaux ouest-France et de l'orne comnattante.




mardi 27 décembre 2016

Un grand opuntia devant l'entrée de la maison de Claude Serais, à La Carneille

Les premiers cactus seraient apparus sur terre il y a au moins 30 à 40 millions d’années et ils ont su s’adapter aux changements de climat d’où la disparition des feuilles pour proposer des formes différentes. C’est la seule plante capable de survivre dans des conditions extrêmes d’où leurs apparences très différentes. On en trouve en forme de boulle (les mamuilaria), de cierge (cereus), de raquette (opuntia). Le cactus consomme le gaz carbonique et peut vivre dans certains endroits où il ne tombe que 250 mm d’eau dans l’année avec un écart de température de 50°c (plus 30°/40°c à moins 10 °c). Il existe 2.000 espèces différentes de cactus tandis qu’il y a environ 3.000 espèces de plantes succulentes.


Celles qui sont très piquantes se protègent de cette façon contre les agressions des animaux et autres insectes. Celles qui sont recouvertes de poils, à l’exemple des cereus, se protègent ainsi du vent et de la pluie. Certaines sécrètent des substances toxiques capables de tuer des animaux. Jadis, sur l’île de Cuba, certains individus se servaient des gros cactus très piquants pour enfermer leurs esclaves dans leur propriété.

Le hasard d’une rencontre

Au hasard d’une rencontre avec un écrivain passionné de cactus, Claude Serais est tombé amoureux de ces plantes qu’il a décidé de cultiver dans le jardin de sa maison de La Carneille au milieu des années quatre-vingt-dix. Il en possède ainsi de très nombreuses espèces de formes différentes dont il prend le plus grand soin. Il les met tous à l’abri du gel et des intempéries pendant la période hivernale.

À partir de 20 mai, je les ressors tous et je les plante en pleine terre jusqu’au gel. La plupart sont issus de boutures et peuvent grimper jusqu’à 2 mètres de hauteur, et même beaucoup plus » indique Claude Serais.
Ce dernier précise que le cactus est une plante très protégée car environ un tiers de ses espèces est appelé à disparaître à cause de la déforestation, des aménagements des villes, du changement climatique, du développement de l’agriculture et… de l’attrait de la plante par les collectionneurs.



source :.l orne combattante.fr du 2016/10/01

lundi 26 décembre 2016

l'égout et les couleurs

La communauté de communes du Bocage athisien (CDCBA) procède actuellement aux travaux en matière d’assainissement dans le bourg de la commune.

photo orne combattante
Ces travaux sont réalisés entre La Carneille, Ronfeugerai et Athis afin de raccorder les stations d’épuration des deux premières communes à celle de la troisième qui a été conçue en prévision de cela.
En effet, les stations de La Carneille et de Ronfeugerai n’ont jamais réellement bien fonctionné et les élus ont décidé de prendre les choses en main en raccordant les deux communes à la station du chef-lieu de canton, à Athis. En parallèle, la municipalité de La Carneille en a profité pour réaliser les travaux de son réseau d’eau potable en passant la canalisation dans la même tranchée que le tuyau de refoulement des eaux usées des deux stations vers Athis.

Pose du tuyau du réseau d'eau potable de La Carneille.
travaux de pose du tuyau de refoulement des eaux usées d’un diamètre de 9 centimètres sur une distance totale de 6,500 km ont débuté il y a quelques jours à La Carneille, route de Taillebois (RD43) au départ de la station carneillaise. Trois postes équipés de pompes électriques de refoulement pour pousser les eaux usées vers Athis seront installés sur l’ensemble du réseau avec envoi d’air dans la canalisation pour éliminer le gaz qui s’accumule dans les canalisations.

Un chantier de 951.500 € HT

La circulation de tous les véhicules est interdite sur la RD43 pendant cette période qui devrait s’étaler sur deux semaines si tout se passe comme prévu.

Depuis la mise en service de la station d’Athis, nous avons un gain de 29 % des eaux parasites sur Athis dont la commune a réalisé aussi des travaux de mise aux normes de son réseau d’eau pluviale, avec le raccordement d’une centaine de particuliers, précise Claude Salliot, maire délégué de La Carneille.
Ces travaux qui sont d’ailleurs le dernier grand chantier de la CDCBA avant son rattachement à Flers Agglo, le 1er janvier prochain, représentent un coût total de 951.500 € hors taxes subventionnés à hauteur de 30 % chacun par le conseil départemental pour 285.450 € et par l’agence de l’eau Seine-Normandie pour un montant de 219.600 €. Pour les 40 % à la charge de la CDCBA, un emprunt à taux zéro a été contracté à hauteur de 146.400 €. Après la traversée du bourg de La Carneille, le chantier va se déplacer vers Ronfeugerai avec un système de circulation alternée avec feux de chantier. Le tronçon entre Ronfeugerai et Athis a déjà été réalisé au cours de l’été dernier tandis que le chantier devrait être achevé avant la fin de l’année en cours.