lundi 23 septembre 2013

Concours d'équitation Western

Un concours d'équitation western avait lieu à la Héroudière ce Dimanche 15 septembre 2013 de 8h à 19h.

Buvette ainsi que de nombreux stands sur place.
Restauration le midi avec un FREE STYLE déguisé et en musique !

 

vendredi 13 septembre 2013

Nouvelles plaques de rue

Des plaques de rue seront installées prochainement par la municipalité.

Bleu et blanc sont les couleurs choisies correspondant aux plaques déja existantes.

 

passage de l'hôtel St Pierre


De nouveaux noms de rues ont été choisi par les Carneillais a cette occasion.

L'impasse Bouquerelle derrière la boulangerie conduisait à la maison des trois anciens maires de La Carneille, le dernier décédé sans héritier ; la fin d'un chemin...

Une plaque pour le prieuré St François d assise, une autre pour Guillaume de la Querneille ayant fait les croisades ( origine du nom de La Carneille ) , passage de l'hôtel St Pierre.


       
journal de 1968
source Annabelle Leroy

"Je viens de retrouver un article de journal datant du 12 août 1968 parlant du nom des rues.
C'est en plein dans le contexte car notre mairie veut nommer toutes les rues.
Annabelle"

jeudi 12 septembre 2013

Repas des anciens -

le 12 octobre aura lieu la journée organisée par les Frères missionnaires des campagnes habitant à La Carneille.

et 13 octobre le traditionnel déjeuner des aînés de la commune à midi dans la salle des fêtes, elle sera décorée et particulièrement accueillante. l'année dernière quarante-huit résidents de la Carneille prenaient place pour profiter cette journée de retrouvailles autour d'un excellent repas.

A bientôt
 
 
 
 journée de la création En contrebas de la longue bâtisse normande, les religieux cultivent un jardin biologique, rafraîchi par une rivière. À La Carneille, la préoccupation environnementale est en effet au cœur de la mission des frères. « Les questions écologiques nous rejoignent très profondément. Ce sont même des questions de foi », assure Frère Emmanuel, amoureux des plantes. Au quotidien, ce souci se traduit par des gestes simples : « Nous sommes attentifs à l’origine des produits et à la saison et nous faisons notre compost », détaille le P. Paul, avec son accent toulousain. Frère Emmanuel, lui, s’investit dans des balades botaniques ouvertes à tous et des carrefours sur l’écologie, tandis que le P. Claude réfléchit à un atelier « Bible, création et peinture ».

 
Si les frères donnent volontiers un « coup de main » à la paroisse voisine d’Athis-de-l’Orne, ils ne sont pas venus pallier le manque de prêtres, rappellent-ils volontiers. Dans le bocage, leur arrivée a suscité « des espoirs » constate Annick, qui est également coordonnatrice du doyenné. Elle décrit leur « vie très simple » comme « un enfouissement » auprès des gens du pays, issus de la terre comme elle. « On se sent accueillis » sourit le P. Claude. Lors de l’inauguration du prieuré, le 21 octobre 2012, l’église de La Carneille était pleine à craquer. « Ca nous a impressionnés, on ne s’y attendait pas du tout. »
 
source :http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Les-Freres-missionnaires-des-campagnes-creusent-leur-sillon-dans-le-bocage-ornais-2013-07-15-986497
 

club de l'amitié à la fosse arthour




Visite  de Lonlay l'abbaye, suivi de la biscuiterie pour le club de l'amitié le 19 septembre.

Le repas se déroulera à la vielle auberge à la fosse Arthour puis suivi de la visite du musée du clou à SAINT-CORNIER-DES-LANDES et le musée des sabotiers




ou vous entrez dans une forge authentique du XVIIIème siècle.


- Découverte de la forge et démonstration de la fabrication de clous forgés

Maison avec vue sur la cavée

Une charmante maison en pierres entièrement rénovée  comprenant
: - Au rez-de-chaussée : entrée, séjour, cuisine aménagée/équipée, salle à manger, wc.
 -1er étage : une chambre, salle d'eau/wc. -Sous combles : une chambre.
 Cave et buanderie.









 Terrasse avec vue agréable et Jardin sur l'arrière



maison en vente actuellement
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Lessive d'autrefois et anciens lavoirs dans le bocage normand


Lavoir situé sur la rive de la Gine. Construction toute en pierre de granit. Toiture à un versant en tuiles anciennes, parfaitement conservé, il est le plus joli du bourg.



Chaque hameau possédait-il un lavoir ? Pas toujours. Les femmes du village se rendaient alors à la rivière proche pour le lavage hebdomadaire du linge familial.

Dans nos campagnes, « la grande buée » se pratiquait une ou deux fois dans l’année, selon l’importance du trousseau familial, au printemps et à l’automne, pendant quatre ou cinq jours, de préférence ensoleillés. 
On avait amassé au grenier, pendant plusieurs mois, le linge sali, au moins une cinquantaine de draps et torchons.
Au jour fixé pour « la grande buée » on remplissait une grande cuve d’une partie du linge, sans oublier « l’encharrois » rempli de cendres. 
Les plus appropriées devaient provenir d’arbres fruitiers, de branches de chêne, joncs et tiges de maïs. 
Il fallait 1 500 kg de cendre pour une buée de 100 kg.

Par ailleurs, on faisait bouillir de l’eau dans un grand chaudron pendu à la crémaillère.
 On versait l’eau dans la cuve à l’aide d’un godet à long manche, dit « pusseux » ou « videux » ; l’eau bouillante ainsi versée favorisait l’action saponifiante des cendres. Elle s’écoulait très lentement par un orifice situé au bas de la cuve et était récupérée dans un baquet. On recommençait l’opération jusqu’à ce que l’eau soit claire. 
Cette tâche pénible qui durait trois jours était confiée à un homme. Cette opération de coulage terminée, au jour suivant, les lavandières chargeaient le linge sur les brouettes et allaient au lavoir. 

Elles s’installaient, à genoux dans leur « carrosse » personnel, brossaient, frottaient et frappaient vigoureusement de leur battoir en bois le linge, ramassé en tas, pour en exprimer le reste de salissures. 
Puis on le rinçait à l’eau claire du bassin alimenté par une source d’eau courante. (...)

Retrouvez l'article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
(n° 30, décembre 1999-janvier 2000)



Un bel endroit pour habitter


une belle grange



une belle Maison de Pierre de 145 m² habitable comprenant un vaste Séjour, Cuisine,
quatre Chambres, une Salle de Bain, et des Caves,



 la Grande Grange, et un Terrain de 600 m² au calme.


(maison en vente actuellement)



« La Carneille est une commune charmante. Je suis un amoureux des vieilles pierres, et passionné de restauration et de bricolage. C’est un village chargé d’histoire, avec un certain dynamisme, et très bien doté en commerçants et artisans. » Claude Salliot

Fête de la St Côme et la Bière de La Carneille




l'oie de la St Côme fabriquée par Olivier J.




La St Côme à Durcet à 3.5 Km de La Carneille


 Sébastien Héroux, de la Carneille, avec une dose de houblon dans la main et Clément Cousin, de Pré-en-Pail (Mayenne), les mains dans le malt, font une démonstration de brassage amateur


Le festival de la bière normande réunit 10 brasseurs professionnels, dont un Japonais installé en Belgique pour l'exotisme, au Brewery (entre Carrouges et la Ferté-Macé) ce week-end. La ferme typique du bocage, avec son ruisseau et ses bois escarpés, s'est agrandie d'un village de toile avec marché du terroir, artisans et musiciens qui se succèdent au podium : blues, folk, pop et rock. La nouveauté de cette année est la leçon de brassage : cuves inox et eau pure, concassage du malt (ici une base pâle et un peu de torréfié pour obtenir une stout), infusion et brassage, sélection et dosage du houblon : un pour l'amertume, l'autre pour l'arôme ; très technique mais faisable chez soi.

Ouestfrance

Pas trop de changement...

Je mourrais de plaisir voyant par ces bocages
Les arbres enlacés de lierres épars,
Et la lambruche errante en mille et mille parts
Ès aubépins fleuris près des roses sauvages.
Je mourrais de plaisir oyant les doux langages
Des huppes, et coucous, et des ramiers rouards
Sur le haut d’un futeau bec en bec frétillards,
Et des tourtres aussi voyant les mariages.
Je mourrais de plaisir voyant en ces beaux mois
Sortir de bon matin les chevreuils hors des bois,
Et de voir frétiller dans le ciel l’alouette.
Je mourrais de plaisir, où je meurs de souci,
Ne voyant point les yeux d’une que je souhaite
Seule, une heure en mes bras en ce bocage ici.
Pierre de Ronsard

place du marché et la halle au beurre


J'irai pas au marché